La société Wooln utilise des femmes retraitées de New York pour créer chaque pièce de ses collections d’alpage, de cachemire et de laine de mérinos.

Les fondateurs de Wooln voulaient aider quelques-unes des étonnantes femmes âgées qu’ils savaient en recherche d’un moyen de réintégrer le monde du travail. Ils ont fait cela en mettant en place une entreprise de vente d’accessoires qui mettent en valeur les compétences en tricot des femmes new-yorkaises. Fabriquée à partir d’alpaga durable, de cachemire et de laine de mérinos, chaque pièce renferme une histoire unique. Une étiquette attachée à l’article indique au client qui l’a tricotée et quelques informations sur la vie de la tricoteuse.

Les tricoteuses étaient des personnes à la retraite et gagnent désormais leur vie grâce à une compétence qu’elle aime pratiquer. Les détails concernant chaque tricoteuse sont visibles sur le site web de Wooln. Jusqu’à présent, la collection Wooln est composée d’écharpes, de bonnets,  et de serre-têtes. Tout est disponible en différentes couleurs et avec différents assemblages de laine. Les prix varient de 65 à 195 $ selon la laine choisie. L’équipe de Wooln est ouverte à l’expansion et encourage les tricoteurs new-yorkais intéressés par le projet à les contacter.

Aider les personnes marginalisées à trouver un emploi contribue à améliorer le bien-être de tous. Sinon, comment certaines des initiatives qui ont rencontré le plus de succès pourraient être reliées entre elles pour obtenir des avantages encore plus larges ?

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Eva, journaliste avec 15 ans d’expérience dans des médias prestigieux comme Masa Journey et Upsider, est diplômée de l’Université de Tel Aviv et de la Sorbonne. Elle apporte un regard aiguisé sur les tendances entrepreneuriales, enrichissant chaque article d’analyses captivantes. Contact : [email protected].

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