Il n’y a pas que le transport routier qui pollue la planète. En effet, le transport aérien et même maritime, sont aussi à l’origine d’une part importante de la production des gaz à effet de serre. Du coup, pour réduire nos émissions carbone induites par le transport il est également nécessaire de passer par la réduction des émissions du transport maritime. C’est ce qu’a en tête Maersk, qui se prépare au lancement en 2023 du premier porte-conteneur zéro émission fonctionnant au bio-méthanol.
Le transport maritime, le socle de l’économie
Depuis la nuit des temps, c’est le transport maritime qui assure le déplacement efficient des biens et personnes à travers le monde. Vous serez donc surpris de savoir que votre tasse à café, votre fromage ou même votre ordinateur, ont été acheminés en France grâce à ce mode de transport qui permet d’écouler à l’international les productions locales des nations connectées au réseau global de distribution.
Du coup, impossible dans l’immédiat de se passer du transport maritime. Mais que faire pour réduire son empreinte carbone du coup ? C’est à cette problématique que cherche à répondre Maersk, troisième armateur et premier acteur du transport maritime de conteneurs au monde.
Sa réponse devrait débarquer en 2023. Il s’agit d’un porte-conteneur qui fonctionne au bio-méthanol, et qui dispose d’une neutralité carbone.
Maersk en avant grâce à au progrès
De l’aveu même de Maersk, c’est « grâce aux progrès technologiques et à la demande croissante des clients pour des chaînes d’approvisionnement durables, A.P. Moller-Maersk accélère les efforts de décarbonisation des opérations maritimes avec le lancement du premier navire de ligne neutre en carbone en 2023 – sept ans avant l’objectif initial de 2030« .
Pour l’heure peu d’information ont circulé sur l’apparence ou les technologies embarquées dans un tel engin, qui s’annonce tout bonne révolutionnaire !
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