Votre mobile émet un rayonnement électromagnétique, afin d’assurer sa connexion permanente avec les antennes relais de votre opérateur. C’est la condition pour recevoir à tout moment des appels et en passer. La question de la nocivité de ces ondes pour la santé est ancienne, et pas encore tranchée.
Un principe de précaution mal appliqué
Des premières études, menées notamment par l’OMS, ont quand même bien démontré des risques accrus pour les utilisateurs les plus réguliers. Les ondes sont suspectées d’augmenter les risques de tumeur cérébrale, de fausse couche, et d’altérer la fertilité masculine, sans compter les troubles cognitifs divers et variés. Excusez du peu !
Mais les scientifiques reconnaissent manquer de recul – et de moyens – afin d’établir un lien biologique avéré. Les mobiles ne sont en effet massivement utilisés que depuis deux petites décennies.
En attendant, et en l’absence de certitude quant à la toxicité des ondes, quelques principes de précaution ont été édictés par les autorités, sans toujours convaincre les scientifiques. Parmi eux, la limite du DAS, le Débit d’absorption spécifique, une norme internationale qui mesure le niveau maximum d’ondes électromagnétiques émises par un appareil. Les opérateurs, quant à eux, recommandent l’usage systématique de l’oreillette, afin d’éviter de coller le téléphone contre sa boite crânienne.
DAS et oreillette : des solutions bancales
Suffit-il donc de choisir un mobile à faible DAS, et de toujours passer des appels avec une oreillette ?
Hélas, ces précautions sont de plus en plus pointées du doigt :
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L’énorme majorité des téléphones ne respectent pas la limite de DAS lorsque placé au contact du corps, comme révélé en 2013 par l’ANFR (Agence nationale des radiofréquences).
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Pire, les mobiles à faible DAS peuvent exposer paradoxalement davantage aux ondes magnétiques, car ils captent généralement moins bien le réseau. En effet, une situation de faible réseau forcerait le mobile à émettre plus pour compenser la perte de signal. Un comble !
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L’oreillette filaire ne résout rien, le fil opérant comme conducteur des ondes, directement jusqu’à l’oreille interne. L’oreillette bluetooth réduit certes plus efficacement le risque. Mais dans les deux cas, le subterfuge ne résout pas la question du contact du mobile contre le corps, en particulier lorsque placé dans la poche.
Un patch miracle ?
Alors, faut-il se résigner ? Pas forcément. Une entreprise suisse fabriquant ses produits en France (cocorico !) propose pour la première fois une solution crédible et même brevetée, fruit de 10 années de recherche. La solution de Fazup se présente comme un patch à placer au dos de son smartphone. C’est une antenne passive large bande qui contrôle l’émission d’ondes.
La régulation de la puissance affecte principalement les ondes émises inutiles, c’est à dire celles qui finissent absorbées par le corps ou le crâne de l’utilisateur. Il faut en effet savoir que les téléphones émettent beaucoup plus d’ondes que nécessaires pour fonctionner, jusqu’à 70 % pour être précis. Fazup agit ici en régulateur, sans dégrader la qualité des communications.
L’installation du patch doit être cependant effectuée au millimètre près, sans quoi il pourrait être inefficace voire dégrader le signal. Heureusement, il est commercialisé en bundle avec un gabarit de pose (système de positionnement pour le mobile), garantie d’une installation parfaite.
Testé et approuvé
Fazup a déjà fait ses preuves lors d’un test indépendant (norme NF) mené auprès de 1000 utilisateurs. Résultat : 85% d’entre eux confirment déjà la baisse de nombreux symptômes tels que maux de tête, troubles du sommeil et acouphènes !
Le dispositif a tant montré son efficacité qu’il mériterait une adoption en masse. Les kits Fazup sont en vente à partir de 29,90 euros. L’entreprise propose aussi des solutions sur mesure pour les entreprises désireuses d’équiper leurs salariés (Humanis, MMA, Armée de terre, Sécurité sociale…). Une manière de montrer leur implication dans la santé de leurs équipes… Sans compter les gains de productivité à la clé !