Dans un monde toujours plus connecté et où tout doit se faire toujours plus vite, prendre une journée pour voyager est une aberration que des start-up telles que Hyperloop veulent gommer. Mise sur pied et financée par ELon Musk le patron de Tesla, Paypal… Hyperloop est entré dans sa phase critique de test et devrait très prochainement voir les premières capsules réelles être installées à la place de nos trains et bus. Grâce à Hyperloop, il serait possible prochainement de réaliser un Paris – Amsterdam en moins de 2 h.
A la base un projet de recherche
En 2013 Elon Musk lança une start-up qui avait pour projet de recherche des moyens de transport permettant de relier les deux côtes américaines en moins d’une journée.
C’est de là que naquit Hyperloop, une sorte de réseau de transport de capsules sous vide se déplaçant à vitesse supersonique. Après des études très controversées aux Etats-Unis il fut établi qu’Hyperloop permettait de relier New-York à Los Angeles ou San Francisco en 4 ou 5 heures seulement. Hyperloop pris de l’ampleur au point où les pays européens commencèrent à s’y intéresser de plus près.
Notamment la Hollande qui est l’une des nations les plus avancées en Europe en matière de développement durable et d’infrastructures. Alors que le projet Hyperloop y est toujours en stand-by, une start-up néerlandaise a commandé une étude visant à établir les réels avantages de ce réseau de déplacement par capsules sous vide. Il s’est avéré que grâce à Hyperloop il ne faudrait plus qu’une heure et demi pour rallier la capitale française en partant d’Amsterdam. Contre 4 heures présentement.
Un projet qui fait tout sauf l’unanimité
Bien que le gain de temps qu’il permet soit substantiel, Hyperloop est un projet qui fait tout sauf l’unanimité.
En effet, diverses nations sont fermées à l’idée d’un tel système de locomotion qui se heurte à diverses impasses technico-physiques et fonctionnelles qui rendent son implémentation en conditions réelles quasi-impossible.