« C’est un monstre aérien » : le nouveau J-36 sans queue de la Chine sidère le monde et surpasse les F-35 et F-47 américains

La Chine, avec son impressionnant chasseur furtif Chengdu J-36, semble vouloir redéfinir les normes de l’aviation militaire. Ce concept de chasseur furtif de sixième génération, encore en partie mystérieux, attire l’attention par son design sans queue et ses trois moteurs. Tandis que les capacités réelles de cet appareil restent à confirmer officiellement, il est désigné par certains comme une menace potentielle pour la suprématie aérienne, capable de remplir des rôles de supériorité aérienne et de frappes. La diffusion récente d’une vidéo montrant le J-36 en action alimente les spéculations sur les intentions stratégiques de la Chine, notamment en direction des États-Unis.

Le J-36, un atout stratégique pour la Chine

La récente vidéo révélant le Chengdu J-36 met en lumière ses capacités de manœuvre impressionnantes. Ce chasseur effectue des virages agiles et des passages à basse altitude, rendus possibles grâce à un système avancé de contrôle vectoriel de poussée. Ces démonstrations spectaculaires témoignent de la sophistication technologique de l’appareil. Avec ses buses de contrôle intégrées à un design de voilure en flèche sans empennage, le J-36 réduit considérablement sa signature radar, renforçant ses capacités furtives. L’absence de stabilisateurs verticaux diminue la traînée, augmentant ainsi l’efficacité énergétique et la portée opérationnelle.

Selon certains analystes, ces avancées technologiques sont un message clair adressé aux États-Unis, soulignant que la Chine est une puissance à ne pas sous-estimer. Malgré ces progrès visibles, des débats subsistent quant à la préparation au combat de l’armée chinoise, souvent critiquée pour son orientation prioritaire vers les objectifs internes du Parti communiste.

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Une configuration motorisée inédite

Le J-36 se distingue par sa configuration à trois moteurs, une rareté dans l’aviation moderne. Les prises d’air, situées sur le dessus et les côtés du fuselage, indiquent une conception innovante. Ce choix pourrait offrir des avantages en termes de poussée et de redondance, selon David Cenciotti, expert en aviation. Capable d’atteindre une vitesse maximale de Mach 2,5, cet appareil se positionne comme un prétendant sérieux pour les missions de supériorité aérienne et de frappes.

Malgré la complexité accrue et la consommation de carburant plus importante que cela implique, le J-36 pourrait transporter une quantité significative d’armement dans ses soutes internes. Il est probable qu’il soit également apte à contrôler une flotte de drones, renforçant ainsi ses capacités de guerre électronique et de reconnaissance.

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Les implications politiques et militaires

La décision de rendre publiques les images des essais en vol du J-36 intervient à un moment stratégique, peu après l’élection de Donald Trump. Cette démonstration publique semble vouloir affirmer la puissance militaire moderne de la Chine aux yeux de Washington. Kelly Grieco, du Stimson Centre, souligne que cette stratégie de communication vise à asseoir la crédibilité de la Chine en tant que puissance militaire de premier plan.

Alors que le moteur WS-15, crucial pour la puissance du J-36, est encore en développement, la configuration à trois moteurs pourrait compenser ce manque. Cette approche pourrait aussi refléter une volonté de diversification technologique face aux défis de production d’un moteur unique suffisamment puissant.

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Enjeux internes et perception internationale

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Un rapport de la RAND Corporation met en lumière les motivations profondes de la modernisation militaire chinoise. Selon ce document, le Parti communiste chinois poursuit avant tout un objectif de maintien du pouvoir à travers l’amélioration de ses capacités militaires. La préparation au combat reste secondaire, ce qui soulève des questions sur l’efficacité réelle de l’armée chinoise.

Le temps de formation des troupes est majoritairement consacré à des sujets politiques, ce qui entrave leur préparation opérationnelle. Chaque unité est dirigée par un commandant militaire et un commissaire politique, ce dernier étant plus préoccupé par la loyauté au parti que par l’efficacité au combat. Pourtant, le développement de technologies avancées, comme les chasseurs furtifs, montre une détermination à renforcer les capacités militaires.

La montée en puissance du J-36 soulève plusieurs questions sur l’équilibre des forces à l’échelle mondiale. Alors que la Chine continue d’afficher ses avancées technologiques, comment les autres puissances aériennes réagiront-elles face à ce nouvel acteur sur la scène militaire internationale ?

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